Langue et Culture arabes

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  • Journée internationale de la langue maternelle le 21 février de chaque année

    Thème 2018 : « Préservation de la diversité linguistique dans le monde et promotion du multilinguisme en vue de réaliser les objectifs de développement durable »

    La Journée internationale de la langue maternelle est célébrée chaque année depuis février 2000 afin de promouvoir la diversité linguistique et culturelle ainsi que le multilinguisme. La date du 21 février a été choisie en hommage aux étudiants tués par la police à Dacca (aujourd’hui la capitale du Bangladesh) alors qu’ils manifestaient pour que leur langue maternelle, le bengali, soit déclarée deuxième langue nationale du Pakistan de l’époque.

    Les langues constituent les instruments les plus puissants pour préserver et développer notre patrimoine matériel et immatériel. Tout ce qui est fait pour promouvoir la diffusion des langues maternelles sert non seulement à encourager la diversité linguistique et l’éducation multilingue mais aussi à sensibiliser davantage aux traditions linguistiques et culturelles du monde entier et à inspirer une solidarité fondée sur la compréhension, la tolérance et le dialogue.

    Sur les 7 000 langues environ parlées dans le monde, plus de 50 % vont probablement s’éteindre en l’espace de quelques générations et 96 % ne sont parlées que par 4 % de la population mondiale. Seules plusieurs centaines de langues sont véritablement valorisées dans le système éducatif et dans le domaine public, et moins d’une centaine sont utilisées dans le monde numérique.

    La diversité culturelle et le dialogue interculturel, la promotion de l’éducation pour tous et le développement de sociétés du savoir sont des éléments phares de l’action de l’Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO). Il n’est pas possible d’atteindre ces objectifs sans un engagement de l’ensemble de la communauté internationale à promouvoir le multilinguisme et la diversité linguistique, et notamment de préserver les langues menacées de disparition.

    Site de l’ONU

  • Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur le cinéma libanais sans jamais le demander...

    Vous cherchez à être incollable sur le cinéma au Liban, son histoire, son évolution, ses courants ? L’ouvrage de Raphaël Millet est indispensable pour savoir tout sur ce grand spectacle, depuis les films tournés à Beyrouth, en 1897, jusqu’à nos jours. Publié aux éditions Rawiya, préfacé par l’écrivain et critique Walid Chmait, le livre sera lancé ce dimanche 17 décembre à 17h00 au cinéma Empire-Sofil, en présence d’une brochette d’acteurs et de réalisateurs.

    Films militants ou de science-fiction, comédies musicales ou documentaires, à travers 464 pages, Raphaël Millet embarque le lecteur au cœur de l’aventure cinématographique au Liban, qui a débuté en 1897 avec les premiers films tournés à Beyrouth, pour le compte des frères Lumière, et les bandes d’actualité Gaumont et Pathé. Mais l’ouvrage ne se résume pas aux films, à leurs réalisateurs et producteurs, ni se réduit aux acteurs et aux différentes tendances prises par le cinéma libanais. Millet nous plonge dans l’univers des distributeurs et des exploitants, et met en lumière les films étrangers tournés au Liban ainsi que le rôle des Libanais dans l’industrie cinématographique, comme Georges Abyad ou Assia Dagher. Née au début du XXe siècle à Tannourine, au nord du Liban, elle a été l’une des figures les plus actives et les plus influentes du monde de la production en Égypte.

    L’Orient-Le Jour est le seul quotidien libanais d’expression française, né le 15 juin 1971 de la fusion de deux journaux, L’Orient (fondé à Beyrouth en 1924) et Le Jour (fondé à Beyrouth en 1934)... Lire la suite, cliquer ici.

    L’aricle sur le site de L’Orient-Le Jour

  • Débats et controverses autour de la grande révolte arabe contre les Turcs

    La Grande révolte arabe contre les Turcs durant la première guerre mondiale est entrée dans l’histoire à travers l’œuvre de T. E. Lawrence, dit « Lawrence d’Arabie ». Pourtant, si la dimension romanesque des Sept piliers de la sagesse est incontestable, ce livre est-il fidèle à la réalité ?

    Par Christophe Leclerc, historien, spécialiste de Thomas Edward Lawrence. Son intérêt pour cet officier britannique l’a conduit à étudier la révolte arabe et, plus particulièrement, l’intervention de la France au Hedjaz, entre 1916 et 1920. Il est l’auteur de La mission militaire française au Hedjaz (L’Harmattan, 2017).

    L’aricle sur Orient XXI

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