Le monde arabe et féminin vu par deux romancières libanaises... Zeinab Merhi et Katia al-Tawil rêvent de bonheur et d’amour

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Le monde arabe et féminin vu par deux romancières libanaises...

Zeinab Merhi et Katia al-Tawil rêvent de bonheur et d’amour, mais témoignent aussi incidemment de la dure réalité d’un pays effondré et d’un Proche-Orient éclaté. En maniant la langue arabe avec brio, à travers une fiction originale, parfait reflet d’un quotidien dynamité et d’un avenir incertain...

OLJ / Par Edgar DAVIDIAN, le 10 juin 2021

Toutes deux contestent, chacune à sa façon, l’univers oriental où sont piégées les filles d’Ève – mais aussi tout être vivant – à travers des plumes aux inspirations différentes. L’une, Zeinab Merhi, taille dans le sombre et le tragique, tandis que l’autre, Katia al-Tawil, cultive le ludique et l’absurde. Mais elles se rejoignent finalement pour dire en commun un certain désarroi et mal de vivre.

Lumière donc sur deux romans à l’inspiration quasi diamétralement opposée, mais qui en disent long sur l’état de décrépitude et de déroute d’un Orient plongé dans ses guerres et ses problèmes insolubles, de même que pour un Liban exsangue, en perte d’identité…

L’Orient-Le Jour est le seul quotidien libanais d’expression française, né le 15 juin 1971 de la fusion de deux journaux, L’Orient (fondé à Beyrouth en 1924) et Le Jour (fondé à Beyrouth en 1934)... Lire la suite, cliquer ici.


Lire également l’article d’Almodon et d’autres articles en rapport en arabe


Lien : L’article sur le site de l’Orient-Le-Jour

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