Beyrouth et le Street art. Une rencontre de Boutros el Ahmar pour l’Agenda Culturel avec de 6 graffeurs libanais

Quels sont les rapports qu’entretiennent les graffeurs libanais à leur environnement ? Comment en sont-ils arrivés à peindre, régulièrement et à leurs frais, les murs de leur ville ? Quels sont les critères qui les poussent à choisir un quartier, un mur plutôt qu’un autre ? Quel rapport entretiennent-ils avec la population, les autorités, la ville elle-même ?

Le contexte est particulier : à Beyrouth, le graffiti n’est illégal que lorsqu’il soutient ou critique un groupe religieux ou politique spécifique, ce qui laisse libre cours aux artistes pour s’exprimer sur d’autres sujets, en plein jour, dans un vide juridique salvateur. De cette exception est née une scène de street art unique, qui fait l’admiration des graffeurs étrangers et l’émerveillement d’une majorité de Beyrouthins et de touristes.

Lien : Le dossier sur le site de l’Agenda Culturel

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