J’ai tué Schéhérazade, Joumana Haddad (Liban), Roman جومانا حداد (لبنان)

, par Mohammad Bakri

Traduit de l’anglais par Anne-laure TISSUT, J’ai tué Schéhérazade est le roman de l’écrivaine libanaise Joumana Haddad, paru chez Actes Sud, Sindbad L’Actuel, en septembre 2010.

Mêlant témoignage personnel, méditations, poèmes et cris, la poétesse libanaise, secrétaire générale du Booker Prize arabe et responsable des pages culturelles du quotidien An-Nahar et du magazine Jasad (Corps) qu’elle a fondé en 2009, nous offre une belle illustration du nouveau féminisme arabe.

« Tuer Schéhérazade », c’est à la fois vivre et penser en femme libre, en femme arabe et libre, comme il en existe tant et qu’on s’interdit de voir et d’entendre.

Joumana Haddad est née à Beyrouth en 1970. Elle dirige les pages culturelles du quotidien An-Nahar ainsi que le magazine JASAD (Corps) qu’elle a fondé en 2009. Elle est aussi la coordinatrice de l’International Prize for Arab Fiction (le Booker Prize arabe). Journaliste et traductrice polyglotte, elle a interviewé de grands écrivains comme Umberto Eco, Wole Soyinka, Paul Auster, José Saramago et Mario Vargas Llosa.

Poétesse, elle a publié cinq recueils qui l’ont rendue célèbre partout dans le monde arabe et dont certains ont été traduits dans les principales langues européennes.

Elle vient d’obtenir un prix de poésie décerné dans le cadre de Metropolis bleu à Montréal.

Lire un extrait de ce livre.

Source : site de l’éditeur.

Lire également l’article paru dans Le Monde du 23-10-2010 : Joumana Haddad, l’insoumise de Beyrouth.

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