Le Street Art au Liban redonne une seconde vie aux rues de la ville deTripoli
Le duo Nazih Yassine et Mohammad Abrash, complémentaire et complice, a décidé d’étendre l’initiative « Embellir ton école et ton entourage » et de voir encore plus grand en investissant les façades d’immeubles abîmées par les conflits qui ont touché la ville. « Nous avons voulu effacer les dégâts causés par la guerre et redonner une seconde vie à Tripoli », dit Mohammad Abrash.
Les graffitis se comptent par dizaines dans les rues tripolitaines. L’artiste a littéralement imprégné les quartiers de son art. Sur des pans de murs, ou plus largement sur d’immenses façades de plusieurs dizaines de mètres de hauteur, le jeune homme n’a aucune limite. Il revisite le drapeau libanais en utilisant une bombe de couleur rouge sang. Dans un autre quartier, il joue sur une métaphore en représentant un adolescent portant un Rubik’s cube sur la tête avec la phrase « Penser pour être libre ». À travers ses graffitis, il a trouvé le moyen de s’exprimer en abordant notamment le sujet de l’éducation des jeunes...
L’Orient-Le Jour est le seul quotidien libanais d’expression française, né le 15 juin 1971 de la fusion de deux journaux, L’Orient (fondé à Beyrouth en 1924) et Le Jour (fondé à Beyrouth en 1934)... Lire la suite, cliquer ici.