Enseignements primaire et secondaire

Epreuve facultative d’arabe aux baccalauréats général et technologique BO n° 43 du 24 novembre 2011 et BO n° 9 du 1er mars 2012

, par Mohammad Bakri


La note de service n° 2011-200 du 16-11-2011, publiée dans le Bulletin officiel n° 43 du 24 novembre 2011, complétée par la note de service n° 2012-019 du 2-2-2012, publiée dans le Bulletin officiel n° 9 du 1er mars 2012, abroge et remplace à compter de la session 2013 la note de service n° 2001-022 du 25 janvier 2001 relative à la définition de l’épreuve facultative d’arabe aux baccalauréats général et technologique.


Extraits n°6 et n°8 concernant l’épreuve facultative


6 - Épreuve orale de LV3 (spécialité en série L ou facultative en séries L, ES, S et STG)

Temps de préparation : 10 minutes
Durée : 20 minutes

Niveau attendu en référence à l’échelle de niveaux du CECRL : A2 « niveau intermédiaire ou usuel ». L’examinateur établit son évaluation à partir de la fiche d’évaluation de cette épreuve.

Le candidat présente à l’examinateur la liste des notions du programme qu’il a étudiées dans l’année et les documents qui les ont illustrées. L’examinateur choisit l’une de ces notions. Après 10 minutes de préparation, le candidat dispose d’abord de 10 minutes pour présenter cette notion.

Cette prise de parole en continu sert d’amorce à une conversation conduite par l’examinateur, qui prend appui sur l’exposé du candidat. Cette phase d’interaction n’excède pas 10 minutes.

Une épreuve facultative écrite d’une durée de 2 heures se substitue à l’épreuve facultative orale pour certaines langues vivantes étrangères dont la liste est fixée par note de service du ministre chargé de l’éducation nationale.

L’épreuve vise à évaluer le degré de compréhension par le candidat d’un texte écrit d’une longueur de vingt à trente lignes et la qualité de son expression personnelle dans la langue vivante étrangère. Le texte rédigé en langue contemporaine peut être d’origines diverses (extrait de journal, de revue, de nouvelle, de roman, etc.).

Il doit être immédiatement intelligible à des locuteurs de la langue considérée sans référence excessive à un contexte culturel extérieur au texte.

Il est demandé aux candidats de traduire quelques lignes du texte (dix au maximum) et de répondre en langue étrangère à des questions portant sur le texte. Le barème est de 5 points pour la traduction et de 15 points pour les questions.

Les candidats individuels ou les candidats issus des établissements privés hors contrat présentent l’épreuve facultative dans les mêmes conditions que les candidats scolaires.


8 - Précisions concernant l’ensemble des épreuves orales

Toutes les épreuves doivent être conduites dans un esprit positif, en mettant le candidat en situation de confiance et en évitant de le déstabiliser.

Pour chaque épreuve, l’examinateur établit son évaluation à partir de celle des fiches d’évaluation présentées en annexe qui correspond à la langue (LV1, LV2, LV3), à la nature et au statut de l’épreuve (épreuve orale obligatoire, enseignement de spécialité, enseignement obligatoire de littérature étrangère en langue étrangère, enseignement facultatif).

Dans tous les moments d’expression orale en langue étrangère, il est attendu du candidat qu’il s’exprime clairement dans une gamme de langue suffisamment étendue pour pouvoir décrire, donner brièvement des justifications ou des explications et développer une argumentation. On valorisera la capacité à varier la formulation. Le candidat devra pouvoir communiquer avec une aisance raisonnable dans une langue simple. Il devra s’exprimer dans une langue grammaticalement acceptable en fonction du niveau d’exigence de l’épreuve et avoir acquis une prononciation claire et une intonation pertinente.

Pendant la phase de prise de parole en continu, l’examinateur doit laisser le candidat aller au bout de ce qu’il souhaite dire, même si sa présentation comporte quelques hésitations, voire de brefs silences.

Dans les épreuves où les candidats apportent des documents, ils fournissent deux exemplaires des documents qui ne sont pas pris dans un manuel scolaire. Si les candidats ne présentent aucun document, l’examinateur le mentionne au procès-verbal et propose aux candidats plusieurs documents entre lesquels il leur demande de choisir.


 Pour en savoir plus sur la définition des épreuves de langues vivantes à compter de la session 2013 :



Précisions concernant l’épreuve facultative orale de langue vivante 3 - Arabe


Les élèves ayant l’équivalent du niveau A2 du Cadre commun européen des langues peuvent s’inscrire à l’épreuve facultative.

Les programmes sont les mêmes que ceux des autres langues vivantes (4 notions à étudier au travers de documents écrits et / ou iconographiques).

Les modalités sont les suivantes :

Épreuve facultative orale de langue vivante 3 (durée 20 min – préparation 10 min) :

Le candidat ne peut s’inscrire qu’à une seule épreuve facultative de langue vivante 3.

Il se présente avec ses documents en deux exemplaires. Il fournit à l’examinateur la liste des notions du programme qu’il a étudiées dans l’année et les documents qui les ont illustrées. L’examinateur choisit l’une de ces notions. Après 10 minutes de préparation, le candidat dispose d’abord de 10 minutes pour présenter cette notion. Cette prise de parole en continu sert d’amorce à une conversation conduite par l’examinateur, qui prend appui sur l’exposé du candidat. Cette phase d’interaction n’excède pas 10 minutes.

Il est attendu du candidat qu’il s’exprime clairement dans une gamme de langue suffisamment étendue pour pouvoir décrire, donner brièvement des justifications ou des explications et développer une argumentation simple. La capacité à varier la formulation sera valorisée. Le candidat devra pouvoir communiquer avec une aisance raisonnable dans une langue simple. Il devra s’exprimer dans une langue grammaticalement acceptable en fonction du niveau d’exigence de l’épreuve et avoir acquis une prononciation claire et une intonation pertinente.

Cette définition suppose que le élèves ont eu accès à l’écrit dans une langue standard dans leur formation antérieure (et qu’ils ne parlent seulement un dialecte).

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